Comme je prépare mon expo
« Noir et Blanc » , je travaille
à l’encre typographique noire.
Mes nouveaux copains du musée
de l’imprimerie de Blain
m’ont donné un gros pot
d’encre bien noire,
alors je n’hésite plus,
les gros caractères en bois
sont sortis de leur casse,
et en avant pour une nouvelle créa !
Cette fois je vais utiliser
TOUTES mes familles de caractères
« antique » et « égyptienne »
selon la classification classique, c’est classe !
Je m’aperçois que je commence
à avoir une assez belle collection.
Le mélange est surprenant,
certaines lettres sont en parfait état,
alors que d’autres ont subi
les outrages du temps,
et portent des coups,
des rayures, des creux,
ce qui donne un effet assez rustique
à l’impression. Mais il paraît que
c’est dans l’air du temps !
Comme ma créa est un peu noire
(c’est quand même logique!)
j’isole un « noir »
et l’encre en couleur :
en avant pour jaune, rouge et bleu.
Primaire n’est-ce pas ?
Ce sera le côté optimiste
de la chose !
Les encres brillent sur la presse,
alors je photographie.
Ce petit noir en couleur me fait penser à la blague du crayon qui écris de n’importe quelle couleur…
Bonsoir Ghislaine,
ça fait très longtemps qu’on n’a pas communiqué par sites interposés : plaisir de te « revoir » traîner par ici !
Je ne connais pas la blague … bouh !
Bon encrage à vous !
C’est une blague que l’on se faisait à l’école primaire : on montrait à ses copains un crayon à papier en expliquant qu’il pouvait écrire de n’importe quelle couleur. Et pour le prouver on prenait un joli bout de papier et en s’appliquant bien on écrivait » De n’importe quelle couleur » !
Eh ben, ça me va très bien !