Archives de Catégorie: linocut

Un stage de linogravure à La Bergerie

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Un stage de linogravure à l’atelier, les 23 et 24 septembre

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Les pêcheries dans les vagues

Je passe pas mal de temps sur le bord de mer, en balade, en recherche d’inspiration, en expo, les miennes et celles des autres.

L’an dernier j’ai dessiné, photographié, recréé des « pêcheries », ces petits bâtiments sur pilotis, en mer à marée haute.

Cette année le déclic est venu en regardant la mer agitée lors d’une grande marée, en pensant à la grande vague d’ Hokusai, et en imaginant la montée des eaux …

Voilà le résultat : des pêcheries en nombre, noires, et les vagues entremêlées, grises, imprimées ensemble.

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« Les sardines en liberté ! »

J’ai fini de graver le premier état de ma plaque de lino, que j’ai prévu de réaliser selon la technique de la plaque perdue : la même plaque sera gravée successivement pour chaque couleur.

Aujourd’hui, j’imprime la première couleur des sardines : un joli bleu ciel, créé avec du blanc opaque et une touche de bleu de Prusse.

Auparavant j’avais fait un premier dessin au crayon, coloré ensuite au marqueur, « pour voir ». Puis plusieurs dessins de sardines, avec bleu ciel et bleu plus soutenu.

J’ai imprimé une dizaine d’épreuves « en plus » de façon à faire des essais pour la deuxième gravure de la plaque. En attendant, les feuilles imprimées sèchent.

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CUISINE : linogravure sur papier argent

Gravure de la cuisine, en « ordre » ou « en désordre » comme on veut, comme on voit, comme on sent !

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La gravure de la cuisine en désordre

Je continue ma série « DÉSORDRES » et cette fois, je m’attache à la cuisine : elle vit, la cuisine, et même « bien rangée », elle arbore un petit air de désordre rassurant.

Je la « vois » déjà imprimée en blanc, gris clair et noir, les trois couleurs en doux dégradé.

J’ai dépassé le stade des esquisses, et le travail est en cours.

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La linogravure du désordre des vélos

Question désordre, les enfants c’est pas mal du tout : ils ont « rangé » les vélos après une bonne balade cet été … Je n’ai touché à rien, j’ai bien regardé et j’ai gravé la plaque de lino, en positif et en négatif, et lundi matin, épreuve d’impression : du blanc et du bleu sur la table d’encrage, et le long rouleau fait le mélange en douceur, d’un ton à l’autre.

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Ma créativité en linogravure

Ma créativité : je venais de finir l’impression du « livre ouvert » et avais imprimé quelques feuilles de brouillon avant de nettoyer la plaque. Habituel. 
Ensuite, j’imprimais le visage d’une nouvelle gravure : « le visage de Joachim du Bellay » et de la même façon, j’imprimais quelques feuilles de brouillon avant le nettoyage de la plaque, et … 
J’avais utilisé le même brouillon que celui du livre, et cette double impression m’a sauté aux yeux : Du Bellay sortait du livre !
Alors le lendemain, impressions, réglages et voilà le résultat, totalement inattendu !

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Les souliers, linogravure en noir et blanc

Le thème du prochain « atelier » à l’atelier est : les chaussures, souliers, godasses, grolles, tatanes, pompes … alors j’ai réalisé ma propre gravure :

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2 Pies, 2 Socs : linogravure et haïku

Cet hiver, les pies jacassent, et volent on tous sens. Je suis à l’ordi, et par la fenêtre, je les aperçois, et commence vraiment à m’intéresser à elles. Un couple se pose sur une branche haute du grand chêne : elles se regardent et soudainement, regardent ensemble dans la même direction. Deux pies noires et blanches, les branches enchevêtrées et noires sur le ciel : tout cela est très graphique, une gravure s’imposera forcément, un jour. Mes photos dorment dans un coin de mes pensées. La gravure est en gestation, mais ne naît pas encore ! Il me manque inconsciemment un déclencheur, comme une histoire qui commence, mais dont on ne possède pas la fin … Et c’est au printemps, quand les agriculteurs commencent à labourer que doucement les pies et les charrues s’assemblent dans mon esprit. Et voilà, les deux pies vont rencontrer sur ma gravure les deux socs improbables aujourd’hui d’une charrue d’autrefois. Alors ça va très vite, je dessine, gomme, assemble, découpe et mon projet prend forme. La gravure pourrait être un jeu d’enfant, mais je désire beaucoup de branches autour des pies, et beaucoup d’herbes folles autour des socs. Et dans l’espace laissé libre entre l’arbre et les herbes, un petit poème à la façon des haïkus japonais prend sa place, composé avec une vieille police de caractères un peu usagée.

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