Et voilà, j’ai envie de reprendre exactement ce que je pensais il y a six ans :
Un atelier se finit, et c’est un peu le blues ! On fait des rencontres superbes, et au moment de se quitter, on voudrait que tout recommence !
D’accord, c’est la vie, mais quand même, les bons moments passent trop vite.
Et cette fois, la dernière journée est très calme, c’est le moment d’imprimer, encore et encore, dans les bonnes odeurs d’encre !
Ce sont des moments intenses, plaisants, et tristes à la fin, quand on réalise que c’est fini. Même pour moi, j’ai envie de dire : surtout moi ! Pourtant j’organise d’autres ateliers, je sais qu’on va apprendre à se connaître, s’apprivoiser, et que très vite ce sera : « Hou-hou, c’est fini ! » Notre côté enfant se réalise à plein, dans l’enthousiasme de la découverte, et la tristesse de l’arrêt. On prend la vie à pleines dents, comme dans un rêve-éveillé.
Quelques images de ce qu’on a fait.



Bonsoir l’ami !
Chouette, les copeaux. Je me souviens des copeaux de bois qui tombaient du rabot dans l’atelier de menuiserie de mon père. J »étais très petite et j’aimais jouer avec, comme j’aimais l’odeur du bois. Je la « sens » encore en en parlant et je revois mon cher papa; Doux souvent de la petite enfance.
Jean-Pierre, le berger rit dans la Bergerie…
pardon : doux souvenir
Bonjour Thérèse !
Le Berger rit dans la Bergerie me plait assez !
Il faudra qu’un jour en se débrouillant tu puisses venir ici, humer l’air des lieux, voir les gens, et nous en faire un joli poème !
des bises !